Que faire de cette vertu théologique, l’espérance ? Est-elle morte avec le déclin du christianisme, ce que Nietzsche appelle la « mort de Dieu » ? Est-elle, dans le meilleur des cas, un baume pour calmer les angoisses, un opium pour le peuple ? Où désigne-t-elle encore la possibilité d’un monde vivable, infiniment plus vivable que ce nous connaissons pour l’heure ?